Le billet du dimanche de Mickey

Mickey est désolé, un petit incident informatique...Je viens de recevoir la copie de ses histoires du matin, bon dimanche ;)

Salut du dimanche à tous

 Ben chez nous il neige, les gosses de par chez nous seront en vacances la semaine prochaine, ils appellent vacances de carnaval, alors février pour montrer qu'il savait faire neiger la fait tomber à son avant dernier jour.

 Ben pour cet emplacement au cimetière, ce n'est, vu la taille pas prévu pour une seule personne et je présume que le disque dur doit être dur comme le marbre de la pierre tombale pour garder en mémoire celles de nos chers disparus... mais avec Alzheimer, on a besoin de moins de mémoire; de toute façon elle ne sera plus vive, elle sera morte.

 Allez les amis, les neuf heures approchant, je ne suis pas tellement à l'heure pour les blagounettes du jour que je vous envoie tout soudain.

 Au cours de la dernière guerre mondiale les restrictions étaient très sévères en Grande-Bretagne. Particulièrement le sucre au moment du thé.

Mme Prettywood, qui n'a plus de sucre chez elle, est invitée chez son amie à prendre le thé. Sur la table trône un magnifique sucrier qui déborde de sucres.

Madame se sert abondamment et à ce moment-là le téléphone sonne et son amie s'excuse et sort du salon pour aller répondre. Cédant à la tentation, Mme Prettywood prend une grosse poignée de sucre et la glisse dans son corsage.

Son amie revient, puis après quelques temps on se sépare.

En arrivant chez elle, sa fille lui dit:

- Maman, il y a le pasteur en visite.

- Bien, ma chérie, prépare le thé.

- Mais, maman, il n'y a plus de sucre.

- Ne t'en fais pas, fais-moi confiance.

On dit bonjour au pasteur, le thé arrive, la tasse du pasteur est servie et manifestement il cherche le sucre.

- Vous désirez un peu de sucre, monsieur le pasteur?

- Oui, s'il vous plaît.

Madame Prettywood plonge la main dans son corsage et retire une poignée de sucre qu'elle glisse dans le sucrier vide.

- Un peu de lait, monsieur le pasteur?

- Ooooo....... NON, merci beaucoup...

Un homme va au chic restaurant Parisien le «Lucas Carton» avec sa blonde et demande un «Mouton Cadet 1928».

Le serveur revient avec une bouteille et en verse un peu dans une coupe pour dégustation. L'homme prend la coupe et sent le vin, puis remet la coupe sur la table en disant:

- Ceci n'est pas un Mouton Cadet 1928.

Le serveur assure que c'est bien du Mouton Cadet 1928 et bientôt, plusieurs personnes incluant le chef et le maître d'hôtel essayent de convaincre l'homme que c'est bien du Mouton Cadet 1928. Finalement, quelqu'un demande comment sait-il que ce n'est pas un Mouton Cadet 1928?

 - Mon nom est Philippe De Rothschild, et je fais ce vin.

 Finalement, le serveur admet qu'il a amené un «Clerc Milon 1928» et dit:

- Nous n'avions plus de Mouton Cadet 1928, mais le Clerc Milon provient du même village que le Mouton Cadet, vous prenez les mêmes vignes du même cépage et de la même année. Vous pressez le raisin de la même façon et le mettez dans les mêmes sortes de barils. Vous embouteillez en même temps, donc le vin est pareil sauf pour une minime différence de distance géographique.

Alors, Mr. De Rothschild dit au serveur:

- Ce soir quand vous retournerez à la maison, demandez à votre blonde de retirer ses sous-vêtements. Mettez votre doigt dans un orifice et un autre doigt dans l'autre orifice puis sentez vos deux doigts. Vous allez enfin comprendre ce qu'une minime différence de distance géographique peut faire.

Un jeune adolescent va voir son médecin de famille. Il se pose des questions existentielles.

- Docteur, j'ai l'impression d'être plus attiré par les garçons que par les filles. Est-ce qu'il existe un test pour savoir si l'on est gay?

- Justement, mon petit Jean-Claude, tu tombes bien. Il y a une étude qui vient de sortir et qui donne des résultats fiables à 99%. Nous allons faire ce test avec toi. Vas-y, déshabille-toi. Pendant que le petit Jean-Claude enlève son pantalon et son caleçon, le médecin enfile des gants d'examen. Une fois équipé, il lui prend les testicules à pleine poignée:

- Vas-y Jean-Claude, dis 33... Jean-Claude s'exécute:

- 33... Le docteur lui prend le pénis.

- Vas-y Jean-Claude, dis 33... Jean-Claude fait d'une voix neutre:

- 33...

- Bon maintenant retourne-toi Jean-Claude Et le docteur lui introduit l'index dans l'anus.

- Vas-y Jean-Claude, dis 33... Et Jean-Claude commence:

- 1... 2... 3... 4... 5... 6...

Une belle femme va chez le médecin et dit:

- Docteur j'aimerais bien que vous fassiez quelque chose pour que mon mari soit endurant et fort comme un taureau....

- Eh bien déshabillez-vous.... on va commencer par les cornes!!!

C'est un curé «nouvelle vague» qui s'en va rendre visite à un de ses paroissiens un samedi soir. Comme il s'approche de la maison, il se doute qu'il y a de l'animation car il entend des cris et des rires.

Le curé appuie sur le bouton de la sonnette, le paroissien ouvre la porte, laissant entrevoir derrière lui un cercle d'hommes complètement nus, avec au beau milieu de ce cercle 3 jeunes femmes, nues elles aussi, mais portant un bandeau sur les yeux et s'occupant à palper les parties des hommes qui leur font face afin d'en deviner le «propriétaire»!

En voyant ce tableau, le curé dit à son hôte:

- Je suis désolé... Je pense que ma place n'est pas ici ce soir...

Le gars lui répond:

- N'importe quoi Monsieur l'curé!, les filles ont déjà cité votre nom 3 fois!

 Bon les amis, c'est pas tout ça, maintenant je m'en vais petit déjeuner, faire une petite promenade de santé sur les blogs amis, lire le quotidien et ce sera déjà la fin de la journée, journée que je vous souhaite bonne et fructueuse et je vous dis à la revoyure.

Mickey