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Bienvenue chez le veteran
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17 septembre 2012

Les tites blagounettes du soir de l'ami Mickey

f3664qvl

Blagounettes de flics...

Salut de la fin de la journée à mon pote du Nord et à sa famille,
- Pourquoi cithare me demandait le musicien de rue?
- Ben c'est parce que j'avais de la fatigue en retard et qu'à cause d'une violente attaque de paupières, la sieste a duré plus qu'elle aurait dû...
Bon, tant qu'à faire, si ces blagounettes ne conviennent pas pour la fin de journée... Il n'y a qu'à les balancer pour la première fournée du matin, avec les croissants du petit déj'.
Allez, en voiture Simone !!!
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Un monsieur téléphone au patron d'une pizzeria. - J'ai trouvé dans ma boîte à lettres une publicité où vous affirmez que vous garantissez la livraison à domicile de vos pizzas, dans les trente minutes qui suivent la prise de la commande. - En effet. - Et que se passe-t-il si ce délai n'est pas respecté? - En ce cas, vous vous accordez, avec mon livreur, pour dire que si les flics consacraient leur temps à régler la circulation au lieu de faire la planque pour garder des réfugiés politiques de haut rang, il y aurait moins d'embouteillages. Et, sur cette constatation, vous lui donnez un bon pourboire et vous vous quittez bons amis.
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Après une nuit d’émeute, quelques étudiants ont été interpellés, sur le campus d'une université. - Pourquoi, demande un des flics, chargés de la garde à vue, avez-vous lancé des cocktails Molotov dans la cafétéria, brisé toutes les vitres des salles de cours, démoli à la hache le grand amphithéâtre et brûlé une douzaine de voitures, stationnées sur le parking réservé aux professeurs? L'un des étudiants explique: - Nous voulions protester contre la violence dont avait preuve à notre égard un de vos collègues. Il s'était permis de faire une remontrance à un étudiant qui avait coiffé le recteur d'un seau contenant du goudron à peine tiède.
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- Pardon, monsieur, demande, très poliment, un gamin à un passant, pourriez-vous me dire quelle heure il est? - Certainement, mon petit bonhomme. Il est 4 heures moins 20. - Merci, monsieur. A 4 heures juste, vous pourrez embrasser mon cul. - Petit voyou! rugit le passant. Je vais te flanquer une bonne paire de claques! L'enfant file à toute vitesse. Le monsieur court derrière lui et il bouscule un policier qui arpentait le trottoir. - Et alors, fait le flic, qu'est-ce qui se passe? - Il se passe, explique le monsieur, qu'un garnement m'a demandé l'heure. Et, quand je la lui ai eu donnée, il m'a dit qu'à 4 heures je pourrais embrasser son cul. Le policier jette un coup d'œil à sa montre: - Pas la peine de vous presser comme ça, dit-il. Vous avez encore un quart d'heure.
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Un petit garçon est bouleversé après que sa mère lui ait raconté, pour la première fois, l’histoire du Petit chaperon rouge. - Mais, alors, s'indigne-t-il, cette forêt, où le loup pouvait commettre ses méfaits en toute impunité, c'était donc une de ces zones de non-droit où ces trouillards de flics n'osent plus s'aventurer?
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C'est aussi l'histoire de l'américain qui passant devant l'Obélisque, demande au flic qui en faisait continuellement le tour: - Si you plait, c'est quoi cela? et le flic de répondre: - La plus belle bitte qu'il y est au monde! et l'américain de répondre en excellent français: - Et vous êtes le morpion qui tournait autour…
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Jo le tatoué, un cambrioleur multirécidiviste, s'est évadé du tribunal et juste à ce moment il y avait sœur Thérèse qui passait dans sa petite voiture. Jo ouvre la portière, pousse sœur Thérèse sur le siège passager et prend le volant. Jo est un as du volant, la petite voiture est maniable, il réussit donc à semer les flics et quelques heures plus tard il libère sœur Thérèse saine et sauve. La police interroge la religieuse sur les circonstances de sa prise d'otage et à un moment le flic lui demande: - Est-ce qu'il vous a fait subir les derniers outrages? Sœur Thérèse rougit un peu et répond: - En ce qui me concerne c'étaient plutôt les premiers et je vais quitter la vie religieuse car j'ai bien envie que ce ne soient pas les derniers.
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Au bois de Vincennes, il y a un flic qui fait sa tournée et il aperçoit un gars en train de creuser un trou. Soupçonneux, il l'apostrophe: - Qu'est-ce que vous faites là? - Ben, vous voyez, Monsieur l'agent, je creuse un petit trou? C'est parce que j'ai rendez-vous avec une fille... - Et c'est pour cette fille que vous creusez un trou? - Oui. Parce qu'elle est bossue...
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C'est un CRS, un CRS standard avec tatouages, casque et matraque. Il sort du bureau de son chef qui vient de lui mettre une engueulade digne d'un film d'Audiard... En substance, son chef reproche d'écrire des rapports totalement incompréhensibles à cause d'une orthographe calamiteuse. - Si vous me faites encore un rapport avec la moindre faute d'orthographe, je vous fais muter dans une banlieue chaude!!! Compris? Le CRS, peu intéressé par ce genre de mutation, se jure de faire attention lors de la rédaction de ses prochains rapports. Le lendemain, alors qu'il est en patrouille sur l'autoroute, il arrive le premier sur les lieux d'un très grave accident; un automobiliste vient "d'exploser" une moto... Après avoir constaté que le conducteur de la voiture et le pilote de la moto sont bien morts, le CRS prend son carnet et commence à noter en s'appliquant du mieux qu'il peut: " Une U-N-E, Fiat F-I-A-T, Uno U-N-O, dans le fossé F-O-S-S-É. " - C'est bon, se dit-il. Je ne dois pas avoir fait d'erreur sur cette phrase. Et il se dirige vers la moto. " Une moto de marque Honda, H-O-N-D-A dans le fossé, F-O-S-S-É. " - Ma foi, ce n'est pas mal, se dit le flic. Et, confiant, il se dirige de l'autre côté de la voie où il découvre une tête décapitée. Il continue à noter scrupuleusement: " Une tête T-Ê-T-E sous la glissière de sécurité, G-L-I-C-I-A-I... G-L-I-S-S-I-A-I... G-L-I-C-I-È... " Finalement, il voit bien qu'il n'y arrivera pas. Alors, il donne un bon coup de pied dans la tête puis poursuit: " Une tête dans le fossé, F-O-S-S-É... "
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Ben voilà l’ami, c’est terrible ce que les jours raccourcissent… dans 5 jours on sera dans l’équinoxe… le jour et la nuit auront exactement la même durée… et puis après, ce seront les longues veillées, comme au bon vieux temps.
D’ici là, profitons des derniers jours d’été et préparons-nous à accueillir l’automne en fanfare…
Bonne fin de journée, bonne soirée et à la revoyure.
Mickey

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