La petite histoire du matin à Mickey

Encore une histoire de curé qui défraye la chronique !

C'était un brave curé de campagne qui n'avait pas pris de vacances depuis plusieurs années qui avait décider d'aller faire une retraite dans un monastère pendant un mois.

Il s'était trouvé un jeune plein de vocation pour le remplacer durant cette période et, à la veille de son départ il lui donne les dernières recommandations à ne pas oublier durant cette période.

- Tu connais l'horaire des messes et je te fais confiance pour les sermons, ni trop longs ni trop courts; va aussi visiter les personnes qui sont sur cette liste, car ce sont les vieux de la commune qui ne peuvent plus tellement se déplacer, cela va leur faire plaisir. Enfin, le jeudi c'est le jour le plus important pour la paroisse car c'est le jour de confession et pas mal de femmes viennent ici pour laver leurs péchés comme elles lavent leur linge au lavoir de la commune; enfin je t'ai fait une liste des pénitences correspondantes aux péchés avoués.

Quelques jours passèrent et on arriva au jeudi et le jeune curé alla dans le confessionnal avec sa liste et attendit sa première paroissienne.

- Bonjour mon Père, j'ai péché; l'autre jour je suis passé devant la pâtisserie et j'ai vu dans la vitrine de belles religieuses, alors je me suis laissé tenter et puis j'en ai mangé deux.

- Ce n'est pas grave ma fille, péché de gourmandise, je vous donne l'absolution, mais vous me ferez deux Ave et trois Pater.

La suivante.
- Bonjour mon père, j'ai péché; en regardant par la fenêtre j'ai vu la nouvelle voiture des voisins, alors j'en ai eu envie, j'étais presque jalouse.

- Ce n'est pas grave ma fille, péché de jalousie, je vous donne l'absolution, mais vous me ferez trois Ave et quatre Pater.

La matinée se passe et les fidèles se confessèrent et sur le coup des 11 heures la pharmacienne alla à confesse.

- Mon Père, hier j'ai péché; quand un ravissant jeune homme est venu dans mon officine; j'ai craqué et je l'ai emmené dans l'arrière boutique et là, je lui ai fait une bonne pipe.

Le cureton, regarde sur sa liste et ne trouve pas le mot pipe; il est embarrassé et il se décide à demander aux enfants de choeur ce que le vieux curé donnait pour une bonne pipe.

Alors les enfants de choeur répondirent en choeur avec le coeur:

- Parfois c'est une poignée de bonbons ou une tablette de chocolat, mais souvent c'est un Bounty !

Allez les amis, je vous souhaite un bon lundi et une bonne semaine et je vous dis à la revoyure.

Mickey